dimanche 24 février 2013

Le Nageur masqué

Filippo Magnini ou Luca Marin ?


Merveille au pays d'Alice

Élégante demoiselle par Alice Pasquini dit AliCè














Alice Pasquini est une artiste pluridisciplinaire basée à Rome. Peinture, illustration, animation et installation, sont ses principaux outils pour créer des œuvres poétiques et pleines d’espoir. 
Son objet principal est de célébrer la féminité, en particulier des femmes fortes et indépendantes.
Elle a peint partout sur la planète.

Pour découvrir son site, suivez ce lien : 
http://www.alicepasquini.com/

Plus de signal

Contre tout ce qui est interdit !


Attention Police !

Des moustaches qui donnent du caractère... à la police romaine


Voleur de sens

"Mine de rien !", par Clet Abraham

Clet Abraham est  l’un des artistes de street art les plus connus des centres villes de France et du centre de Paris. Pourquoi ? Simplement parce que chacune de ses œuvres sont là où vos yeux se posent lorsque vous êtes en voiture ou à pieds.
En effet, ce breton d’origine, aujourd’hui quinquagénaire, est particulièrement connu pour détourner les panneaux de signalisation. Il colle des stickers sur des panneaux signalétiques, tout en respectant leur lisibilité.
C'est sa façon de dénoncer le fait que l'on prend les automobilistes pour des idiots et que tous ces panneaux sont des pollutions visuelles.

Il a collé en France (Paris, Lyons, Bretagne), en Italie (Florence, Bologne, Rome, Turin, Milan, Lucques, Palerme, Pérouse, Sassari), en Angleterre (Londres), en Espagne (Valence). Ses interventions suscitent de nombreuses questions pour leur contenu parfois provocateur (tel "le Christ crucifié" appliqué au panneau de « voie sans issue », qui a fait couler beaucoup d'encre en Italie).

Si vous voulez en savoir plus sur cet artiste, n'hésitez pas à regarder cette vidéo réalisée dans le cadre du reportage Streetosphere.

(source : streetart-paris [clet-abraham])

The sheepest

"je suis ceux que je suis"


samedi 23 février 2013

Street Heart à Rome

Les "coeurs du street art" battent aussi à Rome !


...E Oggi ?!

La mode à l'italienne...


Invasion Piazza di Spagna

Micro Space Invaders très discret



Underground'Art

Street culture dans le métro de Rome !


Blak in Garbatella

C'est ce qu'on appelle le Jus de cerveau !


EGO !?

Hogre a encore frappé !


Aladin ou la lampe diabolique

La Perse s'invite dans les rues de Rome


Moscow in Roma

Un graffiti qui fait honneur à la Russie


Temple ou Théâtre ? Les 2 !

Quant l'Asie rencontre la Rome Antique














Hogre, artiste romain aux origines polonaises a su préserver jusqu'ici son identité aux yeux de tous. Du haut de ses 23 ans (il est né en 1990), son nom a déjà fait un beau tour d’Europe.
En Italie il a dessiné dans les grandes villes telles que Rome, Milan et Florence, mais son plaisir est le voyage. Alors depuis quelques années déjà il parcourt à pied, en auto-stop ou en train l'Europe pendant plusieurs semaines voire plusieurs mois.
Il a commencé depuis peu à exposer en galerie, mais cela reste occasionnel car c'est pour lui contraire à l'esprit du street art, mais comme il le dit « il faut bien gagner un peu de sous », pour voyager, acheter son matériel et survivre en général...

(source : lemonde.fr)

Pour mieux connaître son travail, voici sa page Facebook : Facebook Hogre ou sa Galerie Flickr : Flickr Hogre

Space Invaders @ Roma #2

Invasion près du Métro Cavour


























Dès la fin des années 90, Invader entame un jeu grandeur nature à l'échelle mondiale : le "reality game". Il s'agit d'envahir les villes du monde entier, au moyen de mosaïques qui représentent des personnages du célèbre jeu vidéo, sorti en 1978 : "Space Invaders". Cet artiste français, intervient toujours incognito et prend bien soin de garder son anonymat.
Ses « space invaders » se matérialisent par des carreaux de mosaïques, qu'il colle en haut des murs, des ponts ou tout en bas, au coin de deux immeubles...
Chaque mosaïque est unique et, en règle générale, créée à l'avance. Les parties sont ensuite assemblée, sur place, avec du ciment.

Sur son site web, Invader a mis en place un système de comptabilisation qui rend compte de la progression de son invasion mondiale. Stratégie, plan d’invasion, référencement et photographies complètent son projet.
On retrouve ses personnages dans les grandes capitales du street art que sont Tokyo (88 invaders), Londres (101) ou L.A. (134), mais aussi dans des capitales moins connues pour le Street Art telles que Rome, Vienne ou Istanbul. Il n'épargne pas les villes de plus petites envergures telles que Montpellier (France), Newcastle (UK), Bilbao (Espagne) etc... Mais c'est à Paris, sa ville natale que l'invasion (toujours "en cours") est la plus forte : 1000 Invaders répartis dans toute la ville !

Il faut à Invader au moins "deux semaines pour envahir un ville". Lorsqu'une ville est sa cible... c'est toute la ville qui est envahie, pas uniquement le centre.
Pour Invader, travailler dans la rue est la fois un acte politique et un jeu : chaque space invader remporte en effet entre 10 et 50 points selon le modèle et son emplacement. En additionnant ces points, les villes envahies remportent des scores plus ou moins importants.

Alors, si vous avez la chance de vous promenez dans une ville envahie (pour le savoir, il suffit d'aller voir son site : space-invaders.com)... prenez vous au jeu de dénicher les mosaïques d'Invader... et comptabilisez vos points !

(Source : street art - portrait d'artistes - Eleanor Mathieson et Xavier A. Tapies.- Edition Graffito)

vendredi 22 février 2013

L'argent nous diabolise

Graffiti peint sur la porte de la "Banco di Roma"


Pochoir sur le Ponte Sisto

Boite au lettre de charme


Trast' Invaders contro la crisi

Invasion annoncée dans le quartier du Trastevere !


Cadenas de l'amour

Amour scellé sur le Pont des Anges


Cane da guardia

Le Tibre est bien gardé !



Intense regard

Un pochoir à l'intense regard par C215













C215 (Christian Guémy), né en 1973, est un artiste parisien dont le thème favori est le portrait. Il vit et travaille à Vitry-sur-Seine mais a peint dans le monde entier, comme ici, à Rome. 
Depuis 2005, il fabrique ses pochoirs d’après photographies et redonne une deuxième vie aux boites aux lettres, pilonnes, morceaux de bois,… en laissant apparaître ces visages au regard intense. 

C215 aime peindre les personnages que la société tend à garder cachés : les sans domicile, les mendiants, les enfants de la rue,... Il essaye de replacer ainsi humanité et émotion au cœur de nos villes.

Pour en savoir plus, suivez ce lien : http://c215.fr/
Pour mieux connaître cet artiste : 5 minutes avec C215

Space Invaders @ Roma #1

Un Space Invador qui aime les glaces !



mardi 19 février 2013

Le monstre du canal

Erre-t-il la nuit le long des berges ?


Fly for freedom

L'oiseau qui vole n'a pas de maître (proverbe occitan)


Miaou miaou

Un petit chat espiègle


Un petit chien terrorisé

Mais qu'est ce qui fait tant peur à ce petit chien ?


Mr Escargot

Un escargot très distingué.


Sourire ultri-brite

Un personnage qui donne la pêche aux voyageurs...


vendredi 1 février 2013